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samedi 8 octobre 2022

3 villas et des adresses.

L'Italie, Paris, Nice, etc.

Des Villas aux passés changeant, les villas Magnolia, Miraflores et Nobel.

Le bâtiment actuel, situé dans la rue Magnolie juste au-dessus de Corso Cavallotti, est le résultat d'une série d'extensions d'une villa originale construite par le marquis Eugenio Dufour en 1864 sur un projet de l'arpenteur et entrepreneur de Biella Giovenale Gastaldi senior, tandis que le contrat de construction a été attribué au jeune maître d'œuvre Marco Carlo.

Plan de la ville de Sanremo en Italie.

L'ensemble immobilier ainsi agrandi prit le nom de Villa Magnolie et la destination était celle de résidence de familles aristocratiques d'étrangers, dont en 1923 le séjour de la princesse Kadjar de la dynastie du Shah de Perse renversée par un coup d'Etat.

 En1925, il devint la résidence de la cour du dernier Sultan Ottoman Mohammed VI, qui quitta la Villa Nobel où il s'était précédemment installé et qui y mourut dans des circonstances mystérieuses en 1926. Le dernier sultan ottoman Mohammed VI, arrivé à Sanremo en exil volontaire le 19 mai 1923, s'installant avec sa cour pendant les deux premières années. 

Mohammed VI.

Dans la Villa Nobel et dans la Villa Miraflores adjacente, puis il se serait installé dans l'actuelle Villa Magnolie à la suite du mystérieux suicide d'un haut dignitaire de son entourage.

Ensemble immobilier des Villas : Magnolie.

VILLA NOBEL

 La Villa de l'inventeur de la dynamite

L'histoire de la villa, située à Corso Cavallotti, commence vers 1870, lorsque le pharmacien de Rivoli Pietro Vacchieri achète des terrains dans la zone est de la ville, avec un bâtiment élégant et élancé construit en 1871 sur la base d'un projet par le jeune architecte local Filippo Grossi.

Le 28 juillet 1874, Vacchieri cède sa propriété au chevalier génois Lazzaro Patrone.  La Villa Patrone n'a donc subi aucun dommage du tremblement de terre de 1887, qui a plutôt gravement endommagé la Villa Miraflores adjacente.

Le 24 avril 1891, l'héritier du Cavalier Patrone, Lazza Fausto vend la Villa Miraflores à Mme Rosa Cassini, épouse de l'avocat Rossi, tandis que le lendemain il vend la Villa Patrone au savant suédois Alfred Nobel, qui, incapable de poursuivre son expériences dans le laboratoire parisien de Sevran-Livry, il avait décidé de s'installer à Sanremo, et notamment dans la villa du Cavalier Patrone, à la recherche d'un lieu calme et propice à ses travaux scientifiques. 

Lors de son séjour à Matuz, caractérisé par une extrême confidentialité, le sultan rencontra le 12 novembre 1923 au Casino le roi Vittorio Emanuele III, arrivé dans la ville pour l'inauguration du monument aux morts dans l'actuel Corso Mombello.

 Lors de son séjour à la Villa Magnolie, Muhammad VI reçut, entre autres, une délégation de jeunes universitaires turcs venus à Sanremo pour lui rendre hommage et adressa une proclamation le 13 mai 1926 aux représentants du monde islamique, réunis au Caire, pour les exhorter à empêcher que Mustafà Kemal Atatürk n'impose également sa dictature aux peuples d'Anatolie.

Deux jours après la transmission de ce dernier message, le sultan mourut dans la villa qu'il avait choisie comme sa dernière résidence, où son corps fut exposé pendant trente jours dans un précieux sarcophage placé dans une grande pièce de l'édifice.

 Le 16 juin suivant ont eu lieu les funérailles solennelles de Mohammed VI, dont le corps a été transporté à la gare dans un ancien wagon désaffecté de la Croix Verte de Sanremo et placé sur un wagon d'un convoi à destination de Trieste, d'où le cercueil sera transféré à Damas pour y être enterré.


Lors de son séjour dans notre ville, Mohammed VI a également rencontré Fausto Zonaro, qui avait séjourné à Constantinople entre 1891 et 1907 en tant que peintre officiel de la cour ottomane, entre autres en exécutant divers portraits du futur sultan.

(Fausto Zonaro, le dernier peintre de la cour impériale de Constantinople, est resté dans la ville dorée jusqu'en 1909, année où il est retourné en Italie après le coup d'État qui a renversé le sultan Abdul-Hamid. De retour en Italie il s'installe, après une longue recherche, à San Remo, et le choix est tout à fait compréhensible.  San Remo est une authentique Constantinople miniature : une cité balnéaire riche et cosmopolite, la capitale incontestée de la Belle Epoque italienne. San Remo est la destination favorite de la noblesse européenne (surtout les Anglais et les Russes) qui y séjournent de longs mois, tant pour les loisirs que pour les soins, et à San Remo. Sans oublier qu'il était maçon dans sa jeunesse, il a aidé les ouvriers dans la construction de sa maison, un immeuble de trois étages via Dante Alighieri numéro 5, non loin de ce qui sera son atelier avec une salle d'exposition. Il mourut à Sanremo le 19 juillet 1929. Ici s'achève l'histoire du dernier peintre de l'Empire et de son extraordinaire compagne Elisa, récits de vie uniques et rares, pour un passionné comme Zonaro, de l'Orient magique. Repose au cimetière de la Foce.).


Villa de Fausto Zonaro à Sanremo.

 Après 1928, la Villa Magnolie servit d'école à l'importante population anglaise présente dans la ville à l'époque et prit le nom de "St. George's School Sanremo" mais en 1936, suite à la rupture des relations du gouvernement fasciste avec les États-Unis Royaume l'école a été fermée.

 Vers le milieu des années 1950, une école privée d'inspiration catholique y fut créée, dirigée par les Pères doctrinaires, qui fonctionna jusque dans les années 1980.

 La Villa Magnolie, après une période de négligence, a été achetée en 2005 par la Province d'Imperia et utilisée comme succursale du Liceo Gian Domenico Cassini.

 Le duc Amedeo, deuxième fils de Vittorio Emanuele II, qui était monté sur le trône d'Espagne le 2 janvier 1871, avait déjà abdiqué en faveur de la République en 1873 et se distinguait par l'indépendance de caractère, le brio, la facilité d'un aristocrate « beau et mondain » comme on le définissait à l'époque.  

Après la mort de sa femme le 8 novembre 1876, il revient à Turin avec ses trois enfants où il se remarie en devenant le fondateur de la branche Savoie-Aoste et occupe des postes officiels sous le règne de son frère Umberto I.

 Source : en collaboration avec le Lycée Cassini de Sanremo.


Les secrets 

Ceux qui ont accompagné Vahideddin à San Remo ont rappelé que le sultan n'avait pas beaucoup d'argent avec lui pour commencer, et ce était parti, Zeki Bey a perdu aux tables de jeu de Monte-Carlo.  Il était impliqués dans toutes sortes de scandales, ils se sont souvenus : « Sabiha Sultan avait lui donna quelques-uns de ses bijoux en lieu sûr, qu'il revendit puis joué l'argent.  Il a mis enceinte une jeune Italienne dans le service du sultan, qui dut alors débourser une petite fortune pour dissimuler le scandale.  Et il a cassé le nez de Mazar Aga, le second du sultan préposé, avec sa crosse de pistolet.

 Surtout, il a été accusé et arrêté pour le meurtre de Sertabib Reşad Paşa, médecin en chef du sultan Vahideddin.  Reşad Paşa était l'une des personnes les plus proches du sultan, qu'il a rejoint en exil.  Le 15 mars 1924, il est retrouvé mort d'une balle dans la tête à la Villa Nobel, maison que le sultan avait louée à son arrivée à San Remo.  Ceux qui a entendu le coup de feu l'a trouvé avec un pistolet dans sa main tremblante, à peine vivant, et il est décédé quelques instants plus tard. 

Le décès fut enregistré comme un suicide, mais le 15 mai 1926, peu après après le décès du sultan, la police italienne a arrêté Zeki Bey pour le meurtre de Reşad Paşa.  Il a été libéré après vingt-quatre jours faute de preuves, mais une affaire a été ouverte devant le tribunal correctionnel de Istanbul contre Zeki Bey pour le même meurtre, et le 1er mai 1927 il a été reconnu coupable par contumace et condamné à mort.  Des années plus tard, il est venu à la lumière que Zeki Bey, qui figurait sur la "Liste des 150", était un informateur du gouvernement à Ankara;  via le consulat à Gênes, il avait envoyé des informations sur le sultan à l'ambassade de Turquie à Rome.

 Lorsque la police italienne l'a libéré, Zeki Bey est resté à San Remo un temps, puis il part pour Nice et se réfugie chez Ömer Faruk Efen di.  Sabiha Sultan ne lui a pas refusé l'hospitalité, puisqu'il avait nulle part où aller. 

Deux ans plus tard, le 28 novembre 1928, Zeki Bey, à à la surprise générale, se suicida en brûlant du charbon dans l'annexe de la maison d'Ömer Faruk Efendi et s'asphyxiant.  

Personne n'a jamais su s'il s'est suicidé parce qu'il ne pouvait plus supporter les épreuves qu'il avait enduré toute sa vie, ou s'il était écrasé par la culpabilité du actes qu'il avait apparemment commis.  Neslishah a rappelé.

 P102 Livre Murad Bardakçı et Sultan Neslişah.

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Découvrez toutes les actualités de la Cité des Fleurs ici : 

https://www.sanremoliveandlove.it

Sources 


https://www.sanremostoria.it/it/la-citta/l-urbanistica/palazzi-ed-edifici/227-le-ville/141-villa-magnolie.html

https://www.sanremostoria.it/it/arti-mestieri-tradizioni/260-artisti-figurativi/170-fausto-zonaro.html

Raşit GÜNDOĞDU, Büşra YILDIZ (2020). The Sultans of the Ottoman Empire. p. 247. ISBN 9786055112158His funeral was brought to Beirut and later to Damascus and buried in the cemetery in the garden of Süleymaniye Complex.

https://books.google.ad/books?id=7vDVDwAAQBAJ&pg=PA247&redir_esc=y#v=onepage&q&f=false

Bardakçı, Murat (2017). Neslishah: The Last Ottoman Princess. Oxford University Press. ISBN 978-9-774-16837-6.

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Villa Magnolie – PON Patrimonio Monumentale – Liceo Cassini – SANREMO (digitalsanremo.com)

https://digitalsanremo.com/2019/02/28/villa-magnolie-2/


VILLA NOBEL (sanremostoria.it)

https://www.sanremostoria.it/it/la-citta/l-urbanistica/palazzi-ed-edifici/227-le-ville/143-villa-nobel.html


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Erol GIRAUDY 


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Erol GIRAUDY 
https://www.erolgiraudy.eu

vendredi 12 février 2021

Recherche sur l'Italie

Mes sites de recherches et sites pour retrouver mes origines Italiennes.


Ancêtres Italiens 20 rue des vinaigriers 75010 PARIS c/o Les Garibaldiens



ARCHIVI - portale ufficiale dell’Amministrazione Archivistica Italiana

SIAS - Sistema Informativo degli Archivi di Stato

FRIULI in prin - Anagrafe Storica delle famiglie friulane

Les Garibaldiens, Garibaldini, association pour la liberté et contre tous les fascismes et racismes

Focus-in

  • Focus In est un magazine qui traite de la politique, de l’actualité, de la culture italiennes vues de France. Il est destiné a tous ceux, italiens (...)

    http://www.focus-in.info

La Voce - Revue des Italiens de France

  • La Voce degli Italiani in Francia - est devenue, apres bientôt sept ans, un rendez-vous bimestriel très attendu par la communauté italienne en France ainsi que ses nombreux amis.

    http://www.lavoce.com

Racine d’Italie

  • Magazine de culture consacre a l’italie, les italiens en france, l’emigration immigration italienne

    http://radici-press.net

Archives de France

Archives nationales

cappuccino sur radio aligrefm

[Altritaliani.net]

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Pierre Erol GIRAUDY 





lundi 13 janvier 2020

Les Cauvins et les GIRAUDY

L'Italie et NICE et les origines géographiques,

Il y a plusieurs façons de traiter sujet :


GIRAUDY d'Italie avec la famille Scovazzo de Ligurie (mon arrière-grand-mère) et Cauvin de Gênes (oncles et tantes), et avant 1860 Nice était Sarde (italienne mais la réunification n'avait pas eut lieu).

Sacré casse-tête pour établir une généalogie de ma famille.

Cauvin Flaminius et Louise Emilia GIRAUDY. 

Heureusement... J'avais les documents.

Source État civil :


Extrait acte de naissance
Flaminius Cauvin


Bulletin de naissance de Flaminius Cauvin 


Carte d'identité de Flaminius Cauvin 


Certificat remis aux époux 


France Cauvin Extrait de naissance 


A noter que le nom de GIRAUDY est mal orthographié GIRAUDU.


Avec ces documents il m'est possible de connaître ses parents et ses descendants.

Pour aller plus loin il me faudra consulter des documents en Italie.

Mais, malheureusement quelques registres, les mariages de la Province d'Asti sont séparés des naissances et des décès. Il sera donc plus facile de les analyser.

https://fr.geneawiki.com/index.php/Tables_des_mariages_napol%C3%A9oniens_du_Pi%C3%A9mont

Donc il me manque Asti... et Quaranti. Patience. 



Depuis une dizaine d'années, les services d'archives mettent en ligne, sur leurs sites internet, les registres d'état civil ainsi que les tables décennales.
Au début du XIXe siècle, après les victoires de la campagne d'Italie menée par Napoléon, quelques Provinces du Piémont ont adopté l'état civil napoléonien et ont rédigé leur acte d'état civil en français.



Chacune de ces anecdotes, vont me permettre de réaliser un document plus important. 

--- Pierre Erol GIRAU

DY



Les GIRAUDY et Giraudi Italien et Sarde

L'Italie et NICE et les origines géographiques,

Il y a plusieurs façons de traiter sujet :


GIRAUDY d'Italie avec la famille Scovazzo de Ligurie (mon arrière-grand-mère) et Cauvin de Gênes (oncles et tantes), et avant 1860 Nice était Sarde (italienne mais la réunification n'avait pas eut lieu).

Sacré casse-tête pour établir une généalogie de ma famille.


Asti

Un peu d'histoire :

En 1713, le traité d'Utrecht détache la vallée de l'Ubaye du comté de Nice et donc de la Savoie en faveur du royaume de France en compensation de la perte de vallées alpines du Piémont. Administrativement, la vallée de l'Ubaye fut rattachée à la Provence.
Par le traité de Paris du Victor-Amédée II, roi de Sicile et duc de Savoie, cède Le Mas, dans la vallée de l'Estéron, à Philippe d'Orléans, régent. En échange, celui-ci lui cède Entraunes et Saint-Martin-d'Entraunes.
Par le traité de Turin du Charles-Emmanuel III, roi de Sardaigne et duc de Savoie, cède GattièresFougassièresDos FrairesBouyonLes FerresConségudesAiglun, la majeure partie de Roquestéron et les plans de Puget-Théniers à Louis XV, roi de France. En échange, celui-ci lui cède CuébrisSaint-AntoninLa Penne, une partie de Saint-PierrePuget-RostanAuvareLa CroixDaluis, une partie de Saint-Léger ainsi que la place-forte de Guillaumes, préalablement démantelée.

Le Napoléon III et Victor-Emmanuel II signent le traité de Turin, qui prévoit l'annexion de Nice à la France en échange d'une aide de Napoléon III contre les Autrichiens et d'une assistance à Victor-Emmanuel II dans son désir d'unifier l'Italie
Un plébiscite est organisé. Le circondario di Nizza devient français. Divisé en un arrondissement de Nice et un arrondissement de Puget-Théniers, et augmenté de l'arrondissement de Grasse détaché du département du Var, il forme dorénavant le nouveau département des Alpes-Maritimes. Le , les troupes impériales françaises entrent dans Nice et l'annexion est célébrée. 
Le traité de Turin conserve dans le giron italien les localités de TendeLa Brigue, et de plusieurs hameaux dont Mollières et Morignole parce qu'elles sont des réserves de chasse favorites du roi Victor-Emmanuel II (quoi qu'on ait suspecté à cela des objectifs militaires, la nouvelle frontière étant difficilement défendable par la France). Toutes ces localités finiront par devenir françaises à l'issue de la Seconde Guerre mondiale par le traité de Paris (1947), dernier ajout majeur au territoire national français et au département des Alpes-Maritimes
En 1926, l'arrondissement de Puget-Théniers est supprimé à des fins économiques, et réuni à celui de Nice.
Le diocèse de Nice, qui dépendait de l'archidiocèse de Gênes, dépend à partir de 1860 de l'archidiocèse d'Aix-en-Provence. C'est en 1886 que l'arrondissement de Grasse (à l'exception de l'île Saint-Honorat) fut détaché du diocèse de Fréjus pour être rattaché à celui de Nice ; Garavan qui appartenait alors au diocèse de Vintimille est également rattaché à celui de Nice. L'évêque de Nice perd cependant sa juridiction sur Monaco, qui est doté d'un abbé nullius en 1868 puis d'un évêque en 1887, élevé par la suite au rang d'archevêque (l'archidiocèse de Monaco dépendant directement du pape).
Du fait de l'annexion, toute forme d'enseignement supérieur disparaît à Nice après 1860, et il faudra attendre le xxe siècle pour que soit créée ce qui deviendra en 1965 l'université de Nice. De plus, la cour d'appel de Nice est supprimée. Des mouvements culturels et politiques de type régionaliste ou nationaliste militent pour une reconnaissance officielle de la spécificité culturelle du Pays niçois.

Source Wikipédia. 


Heureusement !


C'est la première fois que Geneanet lance un projet d'envergure hors des frontières françaises ou francophones : de nombreux registres en ligne sont disponibles sur le site des archives italiennes. Ils n'attendent que vous !

Contours du projet

Ce sont toutes les archives numérisées italiennes qui sont susceptibles d’être relevées par les volontaires, bien sûr, et plus particulièrement les tables de mariage, mais pour les Français de langue française, nous limitons ce projet aux seules régions du Piémont et de la Ligurie et aux mariages de l’époque napoléonienne (1804 à 1814), puisque cette région était alors française, et que les actes furent rédigés en français, facilement compréhensibles et retranscriptibles.
  • Piémont : l’indexation concerne les mariages de la période napoléonienne (début du XIXe siècle).
  • Ligurie : l’indexation concerne non seulement les mariages, mais aussi les recensements de la province de Gênes. Nous avons inclus ces derniers à ce projet même s’il ne s’agit pas de tables de mariage.

Premiers relevés en ligne

Vous pouvez déjà consulter sur Geneanet divers relevés sur l’Italie, en italien ou en français car ils sont bien sûr tous ajoutés à nos moteurs de recherche au fur et à mesure qu’ils sont terminés, qu’ils aient été faits en langue italienne ou en français. Vous les trouverez en faisant une recherche classique sur Geneanet.
  • Coni : plus de 5 000 mariages d’une partie du district de Saluzzo sont indexés. Un grand merci à tous les contributeurs, et notamment à André Girelli !
  • Gênes : Sophie Doumerc a indexé 3 000 mariages, tandis que Genny Crevier, Colette Courtin et Michele Fournier indexent les recensements de 1806, qu’elles en soit toutes vivement remerciées !
  • D’autres provinces sont en cours de relevés (Asti, Alessandri, etc).

La famille Italienne 


Je vous présente mon arrière grand mère paternelle et son père François Scovazzo, elle  est  née  à Nice. Lui est de Quaranti dans le Piémont.




Sauf pour quelques registres, les mariages de la Province d'Asti sont séparés des naissances et des décès. Il sera donc plus facile de les indexer. 


https://fr.geneawiki.com/index.php/Tables_des_mariages_napol%C3%A9oniens_du_Pi%C3%A9mont

Donc il me manque Asti... et Quaranti. Patience. 



Depuis une dizaine d'années, les services d'archives mettent en ligne, sur leurs sites internet, les registres d'état civil ainsi que les tables décennales.
Au début du XIXe siècle, après les victoires de la campagne d'Italie menée par Napoléon, quelques Provinces du Piémont ont adopté l'état civil napoléonien et ont rédigé leur acte d'état civil en français.

Chacune de ces anecdotes, vont me permettre de réaliser un document plus important. 


-- Pierre Erol GIRAUDY