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mercredi 2 octobre 2024

Mes 15 livres

 Mes 15 livres de P. Erol GIRAUDY.

L'exil vers la France des ottomans à Nice : leur généalogie. Voyage dans le temps : Une quête généalogique ottomane. - broché - Erol Giraudy-Osman.


Dans les pages de cet ouvrage intime, le destin des derniers Ottomans de Turquie se dévoile telle une tapisserie finement tissée. À travers six carnets empreints de nostalgie, l'auteur nous guide des rives du Bosphore aux rivages ensoleillés de la Riviera Française et Italienne. 

C'est l'histoire d'une noblesse ottomane déracinée, de princes et princesses dont les vies extraordinaires se réinventent dans l'exil. La princesse Méliké, fil conducteur de ce récit, nous introduit dans un monde où le faste d'antan côtoie la mélancolie du présent. 

Ce livre est à la fois une quête personnelle et un témoignage historique, mêlant avec grâce souvenirs familiaux et chroniques d'une époque révolue. Il peint le portrait saisissant d'une dynastie au crépuscule de sa gloire, oscillant entre la grandeur de son héritage et les défis d'une nouvelle vie en terre d'asile. Au-delà de l'histoire familiale ottomane, ce livre explore également les outils modernes dédiés à la généalogie. Je partage mes retours d'expérience sur l'utilisation de l'intelligence artificielle pour analyser et extraire des données de documents précieux pour tout généalogiste.
 
En tant que co-auteur de deux livres sur Copilot de Microsoft et OpenAI, et auteur de nombreux ouvrages techniques, j'apporte une perspective unique sur l'intersection entre technologie et recherche généalogique. J'ai joint à cet ouvrage de nombreuses sources généalogiques accompagnées de photos certaines exclusives, offrant ainsi un aperçu visuel et technique de cette fascinante quête familiale. 
Erol GIRAUDY-OSMAN.

L'exil vers la France des ottomans à Nice : leur généalogie. Voyage dans le temps : Une quête généalogique ottomane.


En préparation.

En préparation.


Conversation pendant 24h avec une IA-CHATGPT:

Les points essentiels afin de mieux comprendre ses tenants et aboutissants de CHATGPT (French Edition) Kindle Edition

https://a.co/d/hdSomBh

Je me suis servi de ChatGPT pour rédiger ce livre, vous deviez vous en douter. Je ne vais pas expliquer les bases de GPT, ouverture d’un compte et tests. Le livre intitulé "Conversation pendant 24h avec une IA-CHATGPT" est écrit à l'aide de ChatGPT, un modèle de langage de OpenAI. Il s'agit de l'intelligence artificielle (IA) et de ses impacts sur différents domaines, tels que le service client, la traduction instantanée, l'éducation, la santé, les finances, le commerce de détail et le journalisme. Le livre comprend également une discussion sur l'avenir de l'IA avec ChatGPT et ses conséquences éthiques et sociales. Le livre se termine avec des FAQ sur ChatGPT, notamment ses inconvénients, son utilisation pour le travail et son accès à Internet. La dernière section traite des mesures pour garantir une utilisation responsable de l'IA pour améliorer la vie des gens.

Tome 1.

https://www.fnac.com/a18279697/P-Erol-Giraudy-OpenAI-et-Microsoft-des-solutions-une-gouvernance-par-des-experts-Tome-1 

OpenAI et Microsoft des solutions et outils, pour une gouvernance de l'IA, par des experts Tome 2


Étude sur l'IA en 2023.

Mes nouvelles Conversations et échanges avec ChatGPT – LIVRE nº2.: How to use ChatGPT and DESIGNER with DALL·E 2 and CREAT (French Edition) Kindle Edition

Étude sur l'IA en 2023.

MES AUTRES LIVRES (10)

Amazon.com: Conversation pendant 24h avec une IA-CHATGPT: Les points essentiels afin de mieux comprendre ses tenants et aboutissants de CHATGPT (French Edition) eBook : GIRAUDY, Pierre Erol: Kindle Store






Users Group Artificial Intelligence d'Andorra (U.G.A.I.A.).

Notre tome 2 :

Plan du livre sur l'AI : Ce Tome 2 : 

OpenAI et Microsoft des solutions et outils, pour une gouvernance par des experts



Ce Tome 2 : OpenAI et Microsoft des solutions et outils, pour une gouvernance par des experts, expose les dernières avancées de Microsoft et OpenAI tout en illustrant comment ces deux acteurs de l'intelligence artificielle collaborent de manière complémentaire. Notamment dans le vaste domaine de l'IA et d'Azure avec ChatGPT, DALL·E et Copilot.

La création de ce livre sur l'Intelligence Artificielle (IA) a été inspirée par la convergence entre des MVP, des anciens MVP et un MVP Alumni, ils sont à l'origine du tome1 : OpenAI© et Microsoft© des solutions, une gouvernance par des experts.

Il explore également en détail la gouvernance, l'audit et le contrôle de l'IA. Il présente les outils adaptés, notamment à travers un "tableau interactif" qui fournit des liens directs vers ces ressources et applications. 

Il aborde les sujets de la gouvernance, l'audit, la sécurité et le pilotage de l'IA avec des outils spécifiques et des recommandations.

Ce livre détaille aussi ces outils et montre comment les mettre oeuvre. Notre Tome 1 était plus ciblé sur OpenAI et Microsoft et leurs solutions.

Mes 12 livres de 2003 à 2024 à la BNF. 


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Erol GIRAUDY 



dimanche 7 juillet 2024

Sultane Neslishah - La dernière Sultane - Turquie

Sultane Neslishah - La dernière Sultane - Turquie.

Cette transcription a été réalisée avec les IA ChatGPT 4.0 et Claude 3.5 OPUS (Opus est un modèle des plus performant, capable de gérer des analyses complexes, des tâches plus longues comportant de nombreuses étapes et des tâches mathématiques et de codage d'ordre supérieur.)
L'IA va modifier durablement notre approche de l'interprétation de l'histoire et de la généalogie.
https://www.anthropic.com/claude - voir mes autres articles à ce sujet sur ce blog.

Petite fille du dernier sultan Vahiddedine par sa mère et du dernier calife Abdul Medjid par son père et par là même deux fois impériale. Une femme à l'histoire étonnante qui, petite fille, vivait dans le Palais de Dolmabahçe, dernier palais de l'empire ottoman.

Jeunesse et Souvenirs : La Sultane Neslishah se remémore sa petite enfance en Turquie, y compris ses souvenirs du Bosphore, des hivers rigoureux et des réunions familiales au palais de Dolmabahçe.

Exil et Éducation : Après avoir été exilée avec sa famille, Neslishah a vécu en France où elle a fréquenté l'école à Nice. Elle décrit la difficulté de concilier son prestigieux héritage avec une adolescence typiquement française.

Famille et Difficultés : Malgré les difficultés matérielles rencontrées pendant leur exil, notamment en Égypte pendant la guerre, la famille de Neslishah a maintenu des liens forts et s'est adaptée du mieux qu'elle pouvait, vendant souvent des possessions pour survivre.

Retour en Turquie : De retour en Turquie dans les années 1960, Neslishah a ressenti un fort sentiment d'appartenance et de fierté pour son héritage. Elle a observé que les attitudes publiques envers sa famille étaient devenues plus positives avec le temps, avec un intérêt croissant pour leur histoire.

Héritage et Réflexions : Neslishah exprime sa fierté pour l'héritage ottoman et les réformes initiées par ses ancêtres. Elle condamne le terrorisme mené au nom de l'islam et affirme son désir de rester en Turquie, ressentant un profond attachement à son pays natal.

La transcription intégrale du texte :


Nous avons l'honneur d'être reçus maintenant par la dernière sultane officielle, la sultane Neslishah, dans sa maison d'Istanbul et c'est un grand plaisir pour nous. 

Sultane, est-ce que vous avez gardé encore des souvenirs du temps où l'empire existait ?

Vaguement, oui. J'étais très petite, j'avais 3 ans quand j'ai quitté la Turquie, mais je me souviens de notre maison sur le Bosphore. Je me souviens des hivers rigoureux durant lesquels je faisais des bonhommes de neige. Je me souviens de nos promenades là-bas et puis je me souviens d'être allée en bateau au palais de Dolmabahçe pour une réception officielle une fois. Quand la réception officielle était terminée, grand-père, le calife, a reçu les membres de la famille et j'étais évidemment très impressionnée par la grandeur du salon, les lustres, tout ça.

Est-ce que vous vous rendez compte que c'est tout à fait impressionnant pour nous de vous entendre dire "grand-père le calife", surtout que vous pouvez le dire de vos deux grands-pères ?

Oui, je peux le dire de mes deux grands-pères. Et puis nous avons habité dans le palais de Dolmabahçe quelque temps lors de la naissance de ma sœur Neslişah, qui est décédée à Paris dernièrement. Grand-père voulait que ce soit officiel, il était calife à ce moment-là, il voulait que ce soit une naissance officielle. Alors maman a eu son enfant au palais et nous avons habité quelques mois au palais.

Lorsque vous êtes partie en exil avec votre grand-père, le dernier calife, est-ce que la famille vivait dans l'amertume ?

Il est évident que notre monde s'est écroulé. Et puis mes parents... Mon père, non, mais maman n'avait jamais vécu ailleurs qu'en Turquie. Nous avons vécu en France après.

Vous avez fait vos études à Nice ?

Moi j'ai fait mes études à Nice, mais toujours en français. Mes parents tous les deux parlaient français au fond. Ils avaient appris le français en Turquie. Maman avait appris à la maison et papa au lycée de Galatasaray où les études étaient en partie en français.

À la maison, vous ne parliez que turc ?

À la maison, nous étions obligés de ne parler que turc. Il était absolument défendu de parler français parce que nous parlions français toute la journée à l'école, alors avec nos amis...

Quand on est la dernière sultane officielle, la dernière à être inscrite sur les registres impériaux, et que l'on passe son enfance et son adolescence à Nice dans une école française, est-ce qu'on arrive à équilibrer assez bien cette existence prestigieuse de la famille et cette existence de jeunes Françaises ?

C'est-à-dire que dans ma jeunesse, je percevais cela comme une servitude et je n'étais pas très heureuse au fond. Je ne me suis retrouvée que dans ma vieillesse, en venant ici. Oui, mais avec l'âge aussi. Maintenant je suis très heureuse ici. Au fond, je me sens appartenir à ce pays. Tout m'appartient parce que tout ce qui est beau a été fait par mes aïeux. Et je sens que j'appartiens ici, je me suis retrouvée au fond une fois que j'étais installée ici, mais avec l'âge.

Mais vous n'avez jamais rompu malgré tout ?

Nous n'avons jamais rompu.
Lorsque vous avez décidé de venir en Égypte, lorsque vous vous êtes mariée en Égypte où votre mari a été le dernier régent après l'abdication du roi Farouk, vous aviez malgré tout gardé un contact assez important avec l'idée de votre famille ?

Ah oui, certainement. D'ailleurs, le sentiment familial est assez fort chez moi. Tout en étant mariée avec un prince égyptien... Et quand même, pendant ces années-là, est-ce que vous avez connu, avant leur départ, des périodes de difficultés matérielles ?

Toujours, toujours ! En France, c'était assez difficile. En Égypte, pendant la guerre, ça a été assez difficile aussi.

Comment est-ce que votre famille réagissait à ces difficultés ?

Aussi bien que l'on peut.
Est-ce que vous aviez des contacts avec d'autres familles royales ? Est-ce qu'il y avait une solidarité ?
Non, nous avons vécu très, très à l'écart. Je ne sais pas pourquoi au fond, mais c'était ainsi.

Lorsque vous êtes revenue en Turquie, c'était dans les années 60 ?
Oui.

Quelle a été votre première impression ? 

Est-ce que vous vous rappelez de votre première impression ?

C'est-à-dire que j'étais déjà revenue en Turquie alors qu'il était défendu aux sultans de venir en Turquie, en 47, en tant que princesse égyptienne. Alors je connaissais déjà la Turquie.

Mais lorsque vous avez décidé de vous y installer ?

Rien ne m'a dérangée. Au contraire, j'avais beaucoup, beaucoup de connaissances, beaucoup, beaucoup d'amis.
Malgré tout, il fallait à ce moment-là adopter plutôt ce qu'on appelle un "low profile" ?
Oui, que j'ai toujours tâché de garder jusqu'à maintenant.

Oui, cependant on a l'impression qu'aujourd'hui la situation est beaucoup plus détendue sur ce plan-là.
Ah oui, beaucoup plus ! Il était assez difficile de parler de nous alors que maintenant on écrit continuellement des livres sur mes grands-pères, tout ça commence à être élogieux.

Qu'est-ce que vous jugez comme une nostalgie ?

Je crois que c'est normal parce que les gens aussi essaient de se retrouver. Il y avait un passé glorieux qui au fond était dû à la famille impériale.

Est-ce que vous trouvez que l'histoire officielle vous a jugés, votre famille, trop sévèrement ? Où il y avait une fausse optique naturelle ?

Est-ce qu'il y a eu des fautes qui ont été faites peut-être de part et d'autre ?
Je n'aimerais pas rentrer dans les détails. Je crois que de part et d'autre...
Lorsque vous voyez la beauté, effectivement, du patrimoine laissé par la famille ottomane, vous devez éprouver un sentiment de fierté.

Certainement ! Je suis très fière. Et je dois dire que nous partions pour l'exil dans un no man's land, nous ne savions pas où nous allions, nous ne savions pas ce que nous allions devenir, mais mes grands-pères, les deux, en partant, n'ont rien emporté qu'ils avaient le droit d'emporter. Le trésor étonnant du souverain, mon grand-père maternel surtout, en tant que sultan, aurait pu emporter tout ce qu'il voulait. Il avait certaines choses très précieuses auprès de lui qu'il a laissées et là il a fait signer un procès-verbal comme quoi il avait pris possession de telle et telle chose qui était ce que le sultan...

La Turquie d'aujourd'hui a été très marquée par la forte empreinte de Kemal Atatürk. Quel jugement portez-vous sur lui ?

C'était certainement un très grand soldat, un très bon officier. C'était l'aide de camp de mon grand-père d'ailleurs. Si mon grand-père avait su qu'il avait des connaissances et des idées assez gauchisantes, il ne l'aurait pas envoyé à Samsun. S'il n'avait pas eu d'estime pour lui... Et puis ensuite il a fait des réformes que nous avons essayé de faire depuis très longtemps. Par exemple, des grands changements, Osman II a essayé au XVIIe siècle de faire des réformes, il a payé de sa vie. Selim III a essayé de faire des réformes, il a payé de sa vie. Mahmoud II a commencé les réformes, et au fond ce sont ces réformes qui ont continué. Et il y avait des choses qu'il fallait faire.

Lorsque vous voyez à travers le monde les vagues de terrorisme qui se font au nom de l'islam, vous, dernière sultane officielle, petite-fille de deux califes, que ressentez-vous ?

Je dois dire que je ne trouve pas les mots pour exprimer... Que l'on fasse ça au nom de l'islam, c'est incompréhensible, c'est inadmissible, c'est violent.

Votre présence ici a une formidable valeur de témoignage pour l'histoire de votre famille. Vous n'avez jamais songé, du jour où vous êtes revenue, à repartir ?

Ah non, certainement pas ! Certainement pas ! J'espère vivre ici et mourir ici.

Merci beaucoup. (Frédéric Mitterrand)

Sultane Neslishah - La dernière Sultane - Turquie (youtube.com)


Voici mon analyse (par l'IA OPUS) du texte de l'interview avec la Sultane Neslishah, la dernière sultane officielle de l'Empire ottoman :


Ce témoignage offre un aperçu fascinant de l'histoire de la famille impériale ottomane à travers les yeux de la Sultane Neslishah. Ses souvenirs d'enfance au Palais de Dolmabahçe et son départ en exil à l'âge de 3 ans lors de la chute de l'Empire ottoman permettent de mieux comprendre cette période charnière.
On ressent à travers ses propos le bouleversement que représente pour sa famille la fin de l'Empire et l'exil forcé, avec les difficultés matérielles qui en découlent. Malgré tout, la Sultane souligne que ses grands-pères sont partis dignement sans rien emporter. Cela témoigne de valeurs d'honneur et de désintéressement.

Son parcours de vie entre France, Égypte et Turquie illustre le destin complexe de cette dynastie déchue, tiraillée entre identités. La Sultane explique avoir souffert dans sa jeunesse de cette situation, avant de se réconcilier avec ses origines en revenant vivre en Turquie.

Ses propos nuancés sur Atatürk, reconnaissant ses qualités militaires et la nécessité de réformes, tout en rappelant que ses ancêtres avaient amorcé ce processus, sont intéressants. Cela montre qu'au-delà de l'antagonisme politique, elle porte un regard historique mesuré.

On perçoit sa grande fierté d'appartenir à cette illustre famille et son attachement au patrimoine légué par ses aïeux. Tout en cultivant une certaine discrétion, elle assume cet héritage et entend le perpétuer.
Ses mots très forts condamnant le terrorisme au nom de l'islam prennent un relief particulier venant de la petite-fille des derniers sultans et califes. Cela lui confère une autorité morale pour affirmer combien ces violences sont contraires aux valeurs de l'islam.

Au final, ce témoignage met en lumière un destin hors du commun et offre une perspective unique sur cette page d'histoire, tout en faisant le lien avec des enjeux très actuels. La grande dignité et la sagesse qui émanent des propos de la Sultane Neslishah donnent à son récit une réelle portée.

https://www.anthropic.com/claude

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LAB GENEALOGIE - Public - www.erolgiraudy.eu/ 

P. Erol GIRAUDY sur la Généalogie de mes familles Giraudy et Ottomane de Turquie et du Comté de Nice.