dimanche 29 novembre 2015

Marseillaise et ses couplets


Faudrait-il aussi savoir ce qu’est le sang impur ainsi que les sillons.


Alors explication de texte :


 A l'époque, ce qu'on appelait le sang pur, c'était le sang des nobles qui, seuls, pouvaient prétendre au Pouvoir et à des fonctions d'officiers dans l'armée. Lors de la Révolution, et notamment de l'attaque des autrichiens, les nobles se sont enfuis et ne restaient donc que des "Sangs impurs" (Républicains), par opposition au "Sang pur" (royaliste). Au cri de la "Patrie est en danger", c'étaient des gens du peuple qui prenaient les armes pour combattre l'envahisseur et qui étaient disposés à verser leur sang pour la liberté.

 C'est dans le même esprit qu'ont été composés le "Chant du départ" et plus récemment "Les africains". Et les sillons sont des tranchées creusées un peu partout dans la campagne et les champs, lors des sanglantes batailles.
 
"Qu'un sang impur abreuve nos sillons" signifie donc que c'est notre "Sang impur" à NOUS, le peuple, qui nourrira nos terres.
En aucun cas il ne s'agit du sang de l'ennemi. Ce serait bizarre et incohérent quand même, de chanter que le sang de l'ennemi nourrit nos terres, nos sillons.

On peut reprocher beaucoup de choses à la Marseillaise, notamment son esprit guerrier, mais pas le "Sang impur", désolé pour les incultes.

A aucun moment de l'Histoire, la France n'a désigné ses adversaires en raison d'une notion raciste liée à la pureté du sang, notamment lors des guerres coloniales inspirées par des politiciens issus des "Lumières", comme les Saint- simoniens et les Francs-Maçons : la statue de la Liberté offerte à la jeune nation américaine illustre le propos...

CQFD
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Pierre Erol GIRAUDY

lundi 23 novembre 2015

12 questions issues du Grand Sanhédrin qui pourraient être actualisées pour le CFCM

Le Grand Sanhédrin est une cour suprême juive créée le [1] comprenant soixante-et-onze rabbins.

Les douze questions qui ont été posées :

  • Première question : Est-il licite aux Juifs d'épouser plusieurs femmes ?
  • Deuxième question : Le divorce est-il permis par la religion juive ? Le divorce est-il valable sans qu'il soit prononcé par les lois contradictoires à celles du Code français ?
  • Troisième question : Une Juive peut-elle se marier avec un Chrétien et une Chrétienne avec un Juif ?
  • Quatrième question : Aux yeux des Juifs, les Français sont-ils leurs frères ou sont-ils des étrangers ?
  • Cinquième question : Dans l'un et dans l'autre cas, quels sont les rapports que leur loi leur prescrit avec les Français qui ne sont pas de leur religion ?
  • Sixième question : Les Juifs nés en France et traités par la loi comme citoyens français regardent-ils la France comme leur patrie ? ont-ils l'obligation de la défendre ? sont-ils obligés d'obéir aux lois et de suivre les dispositions du Code Civil ?
  • Septième question : Qui nomme les rabbins ?
  • Huitième question : Quelle jurisdiction de police exercent les rabbins parmi les Juifs ? Quelle police judiciaire exercent-ils parmi eux ?
  • Neuvième question : Ces formes d'élection, cette juridiction de police judiciaires sont-elles voulues par leurs lois ou simplement consacrées par l'usage ?
  • Dixième question : Est-il des professions que la loi des juifs leur défende ?
  • Onzième question : La loi des Juifs leur défend-elle l'usure2 envers leurs frères?
  • Douzième question : Leur défend-elle ou leur permet-elle de faire l'usure aux étrangers ?


Le Grand Sanhédrin est une cour suprême juive créée le [1] comprenant soixante-et-onze rabbins.
Il a été convoqué par Napoléon Ier, en séance solennelle à Paris le 9 février 1807 afin de donner une sanction religieuse aux principes exprimés par l'Assemblée des notables en réponse aux douze questions qui lui avaient été soumises par le gouvernement. Le nom faisait référence au Sanhédrin, le principal corps législatif et judiciaire du peuple juif jusqu'à l'antiquité tardive.
Le président était David Sintzheim, rabbin de Strasbourg, beau frère de Cerf Berr....

N'est-il pas envisageable de faire la même démarche avec le CFCM ?

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Pierre Erol GIRAUDY

dimanche 22 novembre 2015

Lire afin de comprendre... Taqiyyah - Alamut...

1er point la : "Taqiyah"

Dans l'islam chiite, taqiya (تقیة taqiyyah / Taqiyah) est une forme de dissimulation religieuse, [1] ou une dispense juridique par lequel un individu croyant peut nier sa foi ou commettent des actes autrement illégaux ou blasphématoires, surtout quand ils sont dans la peur ou au risque de persécution importante. [2]

D'Al-Jamil "Hiding in Plain Sight" explique: ... des comportements sociaux associés à la dissimulation religieuse - connus sous le nom «taqiyya», une pratique dans laquelle un chiite peut mentir au sujet de leur foi dans le but de sauver une vie "[3. ]
 
Voir  Taqiyah (cap).

 

 2ème Le roman ALAMUT


Livres de Vladimir Bartol : Qui a dit que faire croire à des vivants, pour en faire des fanatiques, qu'ils rejoindraient le paradis s'ils mourraient en martyr était une notion contemporaine propre à Al-Qaïda ? Installée dans la citadelle d'Alamut, nichée au coeur des montagnes du nord de l'Iran, un chef Ismaélien n'a de cesse que de faire tomber l'empire des turcs Seldjoukides adeptes du faux prophète. Nous sommes au XIe siècle. Ce leader éclairé veut être sur terre ce qu'Allah est au ciel : omnipotent, invisible, maître de la vie et de le mort. Son plan, en recréant le paradis sur terre dans des jardins secrets où vivent de superbes jeunes femmes, est de faire croire qu'il détient lui aussi les clefs du ciel et peut y envoyer, en remerciements des services rendus, ses meilleurs fedayin. Subjugués, ces jeunes soldats de Dieu seront prêts à mourir au combat pour rejoindre ces lieux merveilleux qui les accueillent comme des rois…
 
 
 

3ème comprendre Sunnisme et le rafid


 


Le chiisme (ou chîʻisme1)
 constitue l'une des trois principales branches de l’islam avec le sunnisme et le kharidjisme.
Il regroupe environ 10 à 15 % des musulmans, dont 90 % de la population iranienne. Les chiites sont souvent appelés péjorativement sous le nom de Râfidhites (en arabe : rāfiḍ, رافض, (pl.) rawāfiḍ روافض, « celui qui refuse », ou rāfiḍī, رافضي, « refuseur »), dont la communauté est appelée rāfiḍiy, ceux qui refusent les trois premiers califes (Abu Bakr, Omar et Othman).
Les figures importantes du chiisme imamite (majoritaire) sont les différents auteurs de référence tels qu'Al-Kouleini, Al-Majlissi, et plus récemment, Al-Khu'i, Ali al-Sistani, Khomeini, etc.
 
 
 

Le wahhabisme


 
C' est un mouvement politico-religieux saoudien, fondé au XVIIIe siècle par Mohammed ben Abdelwahhab. Selon cette vision puritaine et rigoriste1 qui se veut issue de l'islam sunnite hanbalite2, l'islam devrait être « réformé » pour revenir à sa « forme originelle » qu'il définit selon une interprétation littéraliste et conservatrice du Coran et des hadiths1.
Depuis plus d’un millénaire, l’islam sunnite s’accorde pour accepter quatre grands courants, unanimement reconnus comme garants de l’orthodoxie religieuse. Il s’agit des quatre écoles de droit sunnites, dans leur ordre d’apparition ; le hanafisme, le malikisme, le chafiisme et le hanbalisme, leurs noms étant tirés de leurs fondateurs. Au XVIIIe siècle, un théologien alors controversé, Mohammed ben Abdelwahhab, s’oppose aux quatre grands courants sunnites en proposant sa propre interprétation de l’islam. Cette nouvelle doctrine est rejetée par son frère Souleyman, de rite hanbalite comme son père, et qualifiée de sectaire par des théologiens des principaux courants sunnites et chiites, au motif qu’elle contredirait les principes fondamentaux de l’islam traditionnel orthodoxe en termes de dogme, de droit et d’interprétation des textes sacrés. Réciproquement, la mouvance d’Abdelwahhab rejette toutes les autres écoles, qualifiées de « déviantes ». Au XXe siècle , elle devient la religion officielle du Royaume saoudien, lui conférant ainsi le monopole idéologique 3.
Bien que fortement médiatisée, la pensée wahhabite reste très minoritaire et diffère, voire s'oppose à la plupart des autres doctrines de l'islam : elle prône notamment une pratique religieuse purement ritualiste1, fondée sur un taqlid et un ijtihad orienté et laissant au second plan certains aspects du fiqh actuel. Les wahhabites rejettent tous les autres courants de l'islam qui ne suivent pas scrupuleusement leurs dogmes, qu'ils considèrent comme hérétiques4. Les chiites et les soufis quant à eux ne sont tout simplement pas « croyants » pour les wahhabites5,6,7.
Ce courant fondamentaliste8 est perçu par la plupart des musulmans comme un mouvement extrémiste[réf. nécessaire]9.
Bien que le corpus idéologique avec le salafisme soit le même, les deux courants se réfèrant essentiellement à deux figures que sont Ibn Taymiyya et Mouhammad Ibn Abdel Wahhab, le wahhabisme diffère du salafisme sur la notion de chef politique.
Ensuite des réformes annoncées par le roi Abdallah le 13 février 2009, Sébastien Abis, chercheur associé à l'IRIS, se demande si l'Arabie saoudite ne s'oriente pas « vers une fin annoncée du wahhabisme ? 10».
 
 

 

Ne pas rester dans l'ignorance, réagir ! Ne pas oublier : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/11/20/01016-20151120ARTFIG00404-attentats-du-13-novembre-retour-sur-une-semaine-meurtriere.php


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Pierre Erol GIRAUDY

mardi 17 novembre 2015

Le chef de l’Etat a évoqué ce lundi devant le Congrès une vaste révision de la Constitution

Vaste révision de la Constitution... deux articles


Afin de « permettre aux pouvoirs publics d’agir conformément à l’Etat de droit contre le terrorisme de guerre »François Hollande veut réformer la Constitution en s’inspirant notamment du comité Balladur de 2007, qui proposait d’y inscrire l’état d’urgence. Une source gouvernementale a évoqué la création d’un régime constitutionnel d’« état de crise » et d’un « visa de retour » pour les Français ou résidents en France qui seraient « impliqués dans des activités terroristes à l’étranger ».
M. Hollande veut, plus précisément, rénover deux articles du texte fondamental français :

  • L’article 36, qui organise « l’état de siège », lorsque la France est attaquée ou fait l’objet d’une insurrection armée, et qui prévoit le transfert de certains pouvoirs à l’autorité militaire. Il ne peut concerner qu’une partie du territoire, et permet de transférer les pouvoirs civils de police à l’armée, ainsi que la création de juridictions militaires. L’Etat de siège correspond normalement à une crise grave, guerre ou insurrection armée.
  • L’article 16, l’un des plus controversés de la Ve République, qui permet au président de la République de s’octroyer des « pouvoirs exceptionnels » lorsqu’une menace « grave et immédiate » pèse sur « les institutions de la République, l’indépendance de la Nation, l’intégrité de son territoire ou l’exécution de ses engagements internationaux ».
    Il était conçu lors de sa rédaction comme une réponse à l’immobilisme gouvernemental, notamment celui de la France de mai-juin 1940. Il n’a en réalité connu qu’une seule mise en application, lors du « putsch des généraux » en 1961, lors de la guerre d’Algérie. Les pleins pouvoirs avaient alors été accordés à de Gaulle de fin avril à fin septembre.




Or, ce que souhaite François Hollande, c’est « pouvoir disposer d’un outil approprié pour fonder la prise de mesures exceptionnelles, pour une certaine durée, sans passer par l’état de siège, ni renier les libertés publiques ». En clair, il s’agirait d’un état d’urgence un peu « allégé » sur le plan des pouvoirs octroyés à l’Etat, mais qui pourrait durer plus longtemps. Une proposition qui n’est pas sans rappeler le « Patriot Act » que l’administration Bush avait fait voter après le 11 septembre 2001.



En France, la Constitution du 4 octobre 1958 a fait l’objet de nombreuses révisions dès les premières années de son fonctionnement. Les modifications de la loi fondamentale sont devenues plus fréquentes encore depuis les années 1990, sous une double impulsion : apparition d'une volonté de moderniser les institutions d’une part, construction européenne et intégration à l’ordre juridique international de l’autre.


Comment réviser la Constitution aujourd’hui ?

Quels sont les héritages et les principes de la Ve République ?



Point de vue :

François Mitterrand avait vivement critiqué dans son ouvrage Le Coup d'État permanent les tribunaux d'exception nés de l'application de l'article 16. Il avait avancé un temps l’idée de remettre en cause l’article 16 dans le début des années 1990, avant de se rétracter[réf. nécessaire]. Plus récemment, lors de la campagne présidentielle de l'élection présidentielle française de 2007, Ségolène Royal et François Bayrou ont fait figurer la suppression de l’article 16 dans leurs projets de modifications constitutionnelles.

Donc nécessité ou pas ?

Attendons les débats, nous ne pouvons pas faire autrement...

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Pierre Erol GIRAUDY
 

lundi 16 novembre 2015

13-11-15 et après J'ai des doutes !

Mauvaise soirée pour le moins, nous attendons ce lundi après-midi les décisions concrètes du gouvernement... J'ai des doutes !
 
Guerre la gagner = quels moyens ?


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Pierre Erol GIRAUDY

dimanche 15 novembre 2015

Vendredi 13 = Il faut des mesures fortes !

Le gouvernement et d'autres indiquent que nous sommes en guerre,
si nos parents pendant la guerre de 39/45 avaient agit comme ils le font actuellement,
nous serions tous des Nazis... Il faut des mesures fortes !
 
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Pierre Erol GIRAUDY

mercredi 4 novembre 2015

Gouvernement RETROPEDAL


Collectivités locales : Valls reporte d’un an la réforme de la dotation globale de fonctionnement

mercredi 4 novembre 2015


Le vote de la réforme est toujours prévu dans le cadre du projet de loi de finances 2016, mais son application est repoussée à 2017. Découvrez la suite ici : http://mobile.lemonde.fr/economie/article/2015/11/03/manuel-valls-reporte-d-un-an-la-reforme-de-la-dotation-globale-de-financement_4802422_3234.html
 
 
A Sciences Po, Manuel Valls enterre le droit de vote des étrangers
mercredi 4 novembre 2015
 
Devant les étudiants de l’école parisienne, le premier ministre a expliqué mardi que cette promesse de campagne de François Hollande n’est « plus une priorité ». Découvrez la suite ici : http://mobile.lemonde.fr/politique/article/2015/11/04/a-sciences-po-manuel-valls-enterre-le-droit-de-vote-des-etrangers_4802641_823448.html

Justice fiscale : trois chiffres qui illustrent les choix et les non-choix de la France

mercredi 4 novembre 2015


Un rapport publié mardi 3 novembre dénonce le manque d’ambition des pays européens dans leur lutte en faveur de plus de justice fiscale. La France n’est pas épargnée. Découvrez la suite ici : http://mobile.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2015/11/03/justice-fiscale-trois-chiffres-qui-illustrent-les-choix-et-les-non-choix-de-la-france_4802419_4355770.html

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  Pierre Erol GIRAUDY